Bonne nouvelle ! Avec l’arrivée du printemps et de la chaleur hâtive, on peut officiellement dire que la saison de drainage agricole est lancée sur la majorité du Québec.
Pour l’occasion, nous sommes allés à la rencontre de plusieurs acteurs clés du drainage agricole, entrepreneurs et agri-installateur afin qu’ils nous en disent davantage sur les défis & enjeux qu’ils rencontrent lors de leur projet de drainage ainsi que les choix qu’ils font en fonction d’optimiser leur rendement agricole.
Dans le cadre de cette nouvelle série «À la découverte du drainage agricole» nous débutons notre tour d’horizon avec Simon Faucher, propriétaire de l’Érablière S.G Faucher, en sous-traitance pour Excavation Simon Paré & fils, dans le cadre du projet de drainage chez les Élevages Éric Grondin à Sainte-Clotilde-de-Beauce.
Drainage agricole, pourquoi et comment : le contexte du projet
À son arrivée, la terre était drainée partiellement et le producteur avait des besoins grandissants, de sorte qu’il a choisit d’ajouter des drains sur l’entièreté de la culture.
Parmi les drains qui étaient déjà installés, plusieurs d’entre eux, sans enrobage, s’étaient bouchés avec le temps, ce qui nuisait grandement à la filtration, et ce malgré le fait qu’ils n’étaient installés que depuis quelques années.
La solution : le 250 microns
À son arrivée, des plans et des recommandations étaient déjà préparés, mais Simon à dût faire des petits changements, causés par un sol plus sablonneux que prévu et une présence importante de roches.
Dans le contexte de terre sablonneuse, Simon recommande toujours l’utilisation d’un enrobage polyvalent comme le 250 microns de Soleno, qui a été choisi dans ce projet.
Pour voir l’entièreté de l’entrevue réalisé avec Simon, consulter la vidéo (2 minutes) ici.
